J’ai trouvé le livre que je cherchais sans savoir qu’il existait: “Les orchidées sauvages du Tarn” de Nicolas DUIVON, aux éditions GRANDS SUD.
Je l’ai déniché à la librairie Pierre Blanc, 23 Grand Rue Raimond VII à Cordes sur Ciel. Une librairie unique en son genre et qui rassemble, entre autres, une multitude impressionnante d’ouvrages sur la culture, l’histoire et la géographie locales ainsi que leurs mystères.
C’est un livre simple, clair, détaillé, très bien illustré qui m’a enfin permis d’identifier et de différencier assurément les multiples ophris qui, il faut le dire, se ressemblent beaucoup à l’œil du vulgaire que je suis…
Et je ne parle pas de toutes les autres variétés qui dévoilent toute leur intimité au fil des pages…
Nicolas DUIVON
Diplômé de photographie en 1992, membre de la Société française d’orchidophilie (SFO), lauréat du prix photographie au neuvième Salon international d’art de Montauban en 2008, Nicolas Duivon explique qu’il photographie «avant tout pour le plaisir et pour éveiller la conscience de chacun à la beauté toute proche, à nos pieds, et sensibiliser le plus grand nombre à la nature et à l’écologie. Les orchidées poussent même dans nos jardins». Ayant grandi aux portes de la réserve naturelle de l’Ardèche, l’artiste s’est d’abord intéressé aux animaux avant de fixer son objectif sur les fleurs. «à l’époque, quand j’habitais à Castelnau-Montmirail, rien qu’autour de chez moi, j’avais répertorié une trentaine d’espèces d’orchidées différentes», explique Nicolas, qui cultive aussi les extrêmes puisqu’il y a quinze jours, il photographiait la faune et la flore de l’équateur, à l’occasion d’un trek auquel il participait. «Quand je pars à la chasse aux orchidées, j’ai toujours entre 12 et 15 kilos sur le dos», ajoute-t-il, énumérant l’ensemble du matériel qu’il emporte avec lui.
La Dépêche du Midi, le 7 juillet 2012
Super cool!
J’ai téléphoné à Nicolas, d’abord pour le féliciter pour son livre, ensuite pour lui demander de m’en “prêter” une partie pour trespes.fr: la partie technique relative aux espèces qu’il décrit et qui sont présentes à La Couronne.
L’artiste doublé du scientifique n’a pas hésité une seconde. Il est plus important pour lui de partager son travail au plus grand nombre plutôt que de le garder confidentiel.
Ce qui me rappelle le proverbe universel:
“Ce qui n’est pas partagé est perdu…”
Copyright: ©
Voici ce que j’ai également “emprunté” sur le site de Guy Pignolet, de Pluton Sainte Rose:
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Photos
http://www.botagora.fr/fr/expos/nicolas-duivon.aspx
Orchidées de Midi-Pyrénées
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